Tribunes politiques
TOUS ENSEMBLE POUR BELFORT
Une politique ambitieuse pour l’amélioration de l’habitat à Belfort
L’amélioration de l’habitat est une priorité de notre majorité municipale. Offrir à chacun un logement de qualité est un engagement fort, qui contribue à l’embellissement de notre ville et à l’amélioration du cadre de vie des Belfortains. Pour atteindre cet objectif, nous agissons aussi bien sur les logements privés (59 %) que sur les logements sociaux (41 %).
En matière de logement social, plutôt que de multiplier les constructions nouvelles, nous rénovons les logements existants afin d’améliorer le confort des locataires. Ainsi, en partenariat avec Territoire Habitat, nous avons lancé des opérations de réhabilitation d’envergure. Par exemple, dans le quartier des Résidences, 358 logements ont déjà bénéficié d’une rénovation énergétique, et 225 autres seront bientôt réhabilités. Dans le quartier Jean-Jaurès, nous investissons plus de 30 millions d’euros dans le projet Bohn-Alsace-Koechlin, qui prévoit la rénovation complète de plus de 250 logements.
S’agissant des logements privés, la Ville de Belfort a acquis une quinzaine d’immeubles dans le secteur Jean-Jaurès afin d’y mener d’importantes réhabilitations. À ce titre, l’ancien bâtiment des cycles Lénot a été démoli pour laisser place à un nouveau projet : la Résidence Saint-Privat, composée de deux immeubles modernes. La Ville de Belfort aide aussi les propriétaires à rénover leur logement, notamment pour améliorer l’isolation, et cherche régulièrement des porteurs de projets pour redonner vie à des immeubles anciens.
Vous l’aurez compris, la Ville de Belfort mène une politique ambitieuse et cohérente pour améliorer l’habitat, en misant sur la rénovation des logements sociaux et le développement de programmes immobiliers neufs. Cette politique permet de diversifier l’offre de logements, de réduire notre consommation énergétique et de lutter contre les logements vacants ou insalubres.
Chaque jour, Belfort se transforme. Nous veillons à accompagner cette évolution avec une urbanisation harmonieuse et durable, au service de tous les habitants.
Damien MESLOT, Maire
EN COMMUN POUR BELFORT
Bravo ?
En 2013, avant l’arrivée de l’actuelle majorité à la mairie, Belfort comptait 50 196 habitants. Aujourd'hui, la population est tombée à 46 545 habitants, soit 3 651 habitants de moins (- 7,27 %). Pendant ce temps, les dépenses de fonctionnement ont explosé, passant de 1 283 € à 1 593 € par habitant (+ 24,16 %). Le taux de pauvreté a également augmenté, passant de 25 % à 29 % entre 2013 et 2021 (+ 16 %) et Belfort compte désormais 6 quartiers prioritaires, contre 5 auparavant. Le bilan de Damien Meslot est alarmant, mais malgré ces chiffres inquiétants, il fanfaronne en se vantant d'avoir « regagné » 500 habitants, et ce, grâce à sa politique immobilière. Cet exercice d'autosatisfaction nous pose problème car il ne sert qu'à masquer les difficultés du commerce de centre-ville, la fragilisation de la Culture, de l'Action Sociale, de l'Éducation... Le refrain bien connu « quand ça va mal, ce n'est pas à cause de moi, mais quand ça va mieux c'est grâce à moi » ne trompe pas grand monde. Hélas, à un an des élections, notre Maire-candidat-à-rien risque bien de nous rebattre les oreilles avec cette chanson.
René SCHMITT (Les Ecologistes), Florian CHAUCHE (LFI), Annie BAULAY (Les Ecologistes), Karel TRAPP (ECPB)
BELFORT EN GRAND
2 mandats et quel bilan? 4/7 OÏKOS
L’année 2017 a vu la mise sous tutelle des associations gérant les centres socioculturels et les maisons de quartier. Elles sont désormais fusionnées dans une seule structure, OÏKOS, dont la gouvernance est aux ordres du maire. Cette décision brutale, contraire aux pratiques de notre ville en matière associative, a méprisé l’autonomie des centres et l’investissement des bénévoles engagés depuis plus de 50 ans dans l’éducation populaire à Belfort. Résultat de cette mise sous tutelle, les centres se sont vidés de leurs bénévoles et ne sont plus que des coquilles vides. Seule la maison de quartier centre-ville a gardé son attractivité. Il faut dire que pour des raisons électoralistes c’est la seule qui a miraculeusement échappé à cette fusion. Notre vie associative ne retrouvera son âme et son dynamisme qu’à la condition de lever cette chape de plomb.
Samia Jaber (DVG), Bastien Faudot (GRS) et Jacqueline Guiot (Génération.s)
BELFORT AUTREMENT
La rédaction n'a pas reçu de texte.